13 mars 2014
The Grand Budapest Hotel, de Wes Anderson (USA 2013)
Mercredi 12 mars, MK2 Odéon.
L'affiche du film, très attrayante, offre le meilleur résumé du film qui tient en une succession de beaux portraits, autant de têtes d'affiches que j'ai eu plaisir à reconnaître tout du long, avec une mention spéciale pour Harvey Keitel, savoureuse apparition de taulard tatoué.
Le rythme trépidant frôle l'hystérie. Tous les petits personnages courent et se poursuivent, s'échappent d'une case à l'autre comme dans une bande dessinée au graphisme (trop) léché. Les scènes se succèdent dans une virtuosité incontestable mais c'est beau et parfait comme une bulle de savon irisée, qui éclate dès la sortie de salle et dont il ne reste rien.
Le fait que le film soit dédié à Stefan Zweig me laisse perplexe.
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